Tu connais cette sensation d’être hyper efficace pendant une heure, puis de sombrer dans le creux de l’après-midi, où ta motivation et ta concentration s’envolent ? Ou bien tu te forces à écrire un dossier important en fin de journée alors que ton cerveau est à moitié en pause ?
Spoiler alert : c’est normal. Et c’est surtout la preuve que tu travailles contre ton biorythme naturel.

Dans cet article, je te montre pourquoi connaître et respecter ton rythme biologique peut transformer ta manière de t’organiser et booster ta productivité sans épuisement. Parce qu’au final, travailler mieux, ce n’est pas faire plus, c’est faire mieux avec ce que tu as.

On l’a toutes entendu : “Il faut être productive !”, “Optimise ton temps !”, “Le temps, c’est de l’argent !”.
Mais franchement, est-ce que ça ne te fatigue pas, toi aussi ?

Dans cet article, je veux t’offrir un souffle, un vrai. Et t’aider à décoller de cette idée qu’on doit toujours être en train de faire, produire, réfléchir, avancer…

Parce que oui, on a le droit de ralentir. De ne rien faire. De prendre une journée où on ne coche aucune case.

“Il faut absolument une routine matinale pour réussir.”
“Les personnes qui ont une routine sont plus disciplinées.”
“Je n’arrive pas à suivre mes routines, je suis irrécupérable.”

Si tu t’es déjà dit au moins une de ces phrases… cet article est pour toi.

Je te rassure : le problème ne vient pas de toi, mais de ta méthode. Et si tu testais le batching ?

Tu cours partout. Tu réponds à un mail entre deux cafés, tu crées un visuel Insta à 23h30, tu relances une cliente en pleine session de deep work… et le soir, tu te demandes pourquoi tu es épuisée sans avoir l’impression d’avoir avancé.

Je te rassure : le problème ne vient pas de toi, mais de ta méthode. Et si tu testais le batching ?

Mais est-ce que tu prends en compte toute ta vie ? Vraiment toute ?
Quand on parle d’organisation, on pense souvent à la productivité, au pro, aux projets à livrer, aux emails à trier. Mais l’organisation, la vraie, celle qui te soulage et te porte, commence par une vision globale.
C’est là qu’intervient la carte de vie.

Tu ouvres ton ordi, tu regardes ta to-do… et tu ne sais même pas par quoi commencer. Entre les urgences, les mails qui s’accumulent, les messages Slack ou WhatsApp et le temps qui file, difficile de garder le cap.

L’autre jour, chez ma psy, on a parlé d’un truc tout simple, mais qui m’a mis une petite claque.
Je lui racontais que je passais mes journées à réfléchir. À tout. Tout le temps.
Et elle m’a dit :
“Vous réfléchissez trop… et toujours au pire.”

Aïe.
C’était exactement ça.

Et je sais que je suis pas la seule.